Henri CHOUKROUN Cabinet Henri CHOUKROUN
Henri CHOUKROUN
Avocat au Barreau de Paris spécialisé en droit du cinéma et de la communicationInformations
75018 PARIS
Henri CHOUKROUN
Avocat au barreau de Paris depuis octobre 1970 , après des études de droit privé à Assas et au Panthéon, d'un DES de Sciences Politiques au Panthéon et du diplôme de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris (section Service Public) obtenu en 1970, j'ai collaboré pendant deux ans avec Me Roland Dumas où je traitais essentiellement d'affaires politiques et de droit de la Presse.
Libéré de mes obligations militaires , j’ai ouvert mon cabinet en 1974 . J’y traitais d’affaires de Presse et de droits de l’homme , puis me suis rapidement orienté vers la défense des écrivains, participant avec François Chatelet, Marie Cardinal et Yves Navarre à la création du SELF (Syndicat des Ecrivains de langue Française), puis à celle du Conseil Permanent des Ecrivains qui réunit l’ensemble des associations et sociétés d’écrivains, dont l’Académie Française.
A partir de 1983 j’ai élargi mon champ d’activités au cinéma et à l’audiovisuel, suis devenu l’avocat de la SRF (Société des Réalisateurs de Films) et de la FERA (Federation of European Screen Directors) pour défendre les réalisateurs dans les négociations engagées avec les producteurs, en présence du Ministère de la culture, et formuler le texte de la réforme de la Loi de 1957 qu’ils souhaitaient, laquelle a abouti à la loi Lang du 3 juillet 1985 relative aux droits d'auteur et aux droits des artistes-interprètes, des producteurs de phonogrammes et de vidéogrammes et des entreprises de communication audiovisuelle.
La Cinémathèque française m’a alors demandé de devenir son avocat ce que j’ai été pendant 20 ans . Ma clientèle se composait ainsi de réalisateurs, scénaristes, producteurs, diffuseurs, acteurs, comédiens, agents, auteurs-compositeurs, artistes interprètes et ayants droits d’auteurs du cinéma de répertoire.
L’affaire ASPHALT JUNGLE qui opposa les héritiers de John HUSTON, que je représentais avec Olivier Carmet, à la CINQ de Silvio Berlusconi m’a permis, à partir de 1989 de développer une clientèle à Hollywood en lançant, notamment aux côtés de la DGA (Directors Guild of America), et des réalisateurs Elliott Silverstein, Marcel Ophuls et Steven Spielberg , la bataille du droit moral ( « final cut ») toujours d’actualité.
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Ma clientèle se compose d’écrivains, de journalistes, d’éditeurs, de cinéastes, de producteurs, d’acteurs, de photographes, de musiciens et je traite, plus généralement, de toutes les questions ayant trait à la propriété littéraire et artistique, aux droits de la personnalité et aux marques.
Distinctement de mon cabinet, je travaille depuis deux ans à la création de l'association PLANETE CULTURES. Déclarée le 27 juin 2022, ses activités débuteront dès septembre.
Son objet est de défendre les cultures pour protéger la Planète. Elle organisera pour ce faire des colloques sur des sujets brûlants relatifs aux Arts traditionnels mais aussi à l’intelligence artificielle et aux créations qu’elle produit, aux Cultures, et à l’environnement ; ainsi que des formations à destination des entreprises, des collectivités publiques et des écoles.
Elle mettra en place une permanence juridique ouverte aux artistes, à ses membres et conduira des actions de lobbying auprès des pouvoirs publics.
Elle réunira, des ONG et acteurs de la défense de l’environnement, des artistes de toutes disciplines, des auteurs, des acteurs , comédiens et leurs agents, des avocats (dont nombre de membres du ClubRezo), des notaires, commissaires aux comptes et experts comptables et travaillera étroitement avec des sociétés et associations nationales et internationales dont les buts et moyens convergent avec les siens.